Après avoir été expulsée de sa maison pour que des colons israéliens puisse si installer, après avoir perdu son mari malade et hospitalisé à la suite de l’expulsion, Mme Al-Kurd continue son combat,
Son combat ! Quel mot éhonté ! Quand il s’agit simplement de souhaiter que justice soit rendue.
Aussi, elle n’entend pas céder son désir d’habiter cette terre qui l’a vu naître et grandir, aux pressions israéliennes. Aujourd’hui avec de nombreuses O.N.G. (B’T’selem, rabbis for the human rights, Activestills, Marsom Watch, ...) ainsi qu’avec des israéliens, des palestiniens et des internationaux elle est venue s’installer symboliquement (en dressant sa tente) à l’emplacement de sa première maison, de laquelle elle et sa famille ont été expulsés lors de la création de l’état d’Israël en 1948.
Son combat ! Quel mot éhonté ! Quand il s’agit simplement de souhaiter que justice soit rendue.
Aussi, elle n’entend pas céder son désir d’habiter cette terre qui l’a vu naître et grandir, aux pressions israéliennes. Aujourd’hui avec de nombreuses O.N.G. (B’T’selem, rabbis for the human rights, Activestills, Marsom Watch, ...) ainsi qu’avec des israéliens, des palestiniens et des internationaux elle est venue s’installer symboliquement (en dressant sa tente) à l’emplacement de sa première maison, de laquelle elle et sa famille ont été expulsés lors de la création de l’état d’Israël en 1948.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire